Presse

Entrevues 

Evelin Ramon interviewe Marie-Hélène Breault, Pulsar / CISM 89,3 FM (2015)
AUDIO Extrait 1
AUDIO Extrait 2
AUDIO Extrait 3

Entrevue autour du concert Espaces mixtes II produit par E27 (2013)
AUDIO Radio-Canada

Entrevue autour du concert Vox Pop produit par E27 (2011)
VIDÉO Facebook/Lézarts

Entrevue autour du concert La porte du ciel produit par la SMCQ (2008)
VIDÉO You Tube/SMCQ

Articles et critiques 

Emmanuelle Piedboeuf, Quand l’erreur est appréciée (2013)
Montréal en musique

Justine Pomerleau-Turcotte, Grands espaces et grandes œuvres (2012)
Impact Campus

Richard Boisvert, E27, le frisson de la découverte (2012)
Le Soleil

Jessica Dostie, Marie-Hélène Breault : entre patience et polyvalence
(2011)
Journal Metro

Lucie Renaud, La flûte dans tous ses états (2011)
Blog de Lucie Renaud

Concert hommage au compositeur Gilles Tremblay (2010)
Le Charlevoisien

Bernard Savoie, Merveilleuse soirée à la SMCQ (2009)
Sa Voie Finale

Stanley Fefferman, Montreal Stockhausen Project @ New Music Concerts (2008)
Showtime Magazine

Jessica Lombardi, The Montreal Stockhausen Project (2008)
The Live Music Report

Frédéric Khalkhal, Sur un air de flûte enchantée (2008)
Journal Metro

Stéphanie Marin, Prix pour étudiants-chercheurs de l’ACFAS – De jeunes cerveaux en ébullition (2007)
Le Devoir

Paul Dirmeikis, Stockhausen Courses Kürten 2006 (2006)
Derkeiler

Réjean Beaucage, Top 5, musique classique (2005)
Voir Montréal

Réjean Beaucage, Marie-Hélène’s Gesang (2005)
Voir Montréal

Extraits de presse

Pour moi, c’est après la pause que ce concert [Espaces mixtes II] est passé de juste
bon — une belle soirée et une nouvelle expérimentation — à « wow c’est hyper-méga-incroyable! »
Emmanuelle Piedboeuf, Montréal en musique, 2013

Avec Aurores boréales, un concert inspiré des grands espaces arctiques, l’ensemble Erreur de type 27 (E27) n’a sans doute jamais proposé soirée de musique aussi fraîche. Pas question de s’engourdir pour autant, encore moins de claquer des dents. L’ambiance s’annonce au contraire chaleureuse et décontractée. « Ça tient davantage de l’événement que du concert où tu vas t’asseoir et où tu développes ton bonbon en faisant le moins de bruit possible », fait valoir Marie- Hélène Breault, la directrice artistique de l’ensemble, avec un brin d’ironie. […] Certes, dénicher un matériel aussi pointu pose un certain défi. Marie-Hélène Breault aime toutefois beaucoup jouer avec l’idée du concert thématique. « Ça nous force à nous creuser la tête, à viser dans une certaine direction, indique-t-elle. Ces recherches nous donnent aussi la chance de faire de belles découvertes. »
Richard Boisvert, Le Soleil, 2012

Lʼentracte fut suivi dʼune pièce solo pour la flûte, Icicle de Robert Aitken : court, efficace, livré avec classe.
Justine Pomerleau-Turcotte, Impact Campus, 2012

Comme dans tout métier artistique, œuvrer en musique demande également beaucoup de créativité. « Plutôt que de suivre les chemins déjà tracés, il faut vouloir en essayer de nouveaux selon ses goûts, ses rêves et ses capacités », suggère la musicienne.
Jessica Dostie, Journal Metro, 2011

En début de seconde partie, Marie-Hélène Breault a envoûté le public avec Dialogue du silence de Katia Makdissi-Warren, inspiré du tagasim, improvisation arabe dans laquelle le silence joue un rôle essentiel, magnifiant le propos entendu précédemment et préparant la prochaine phrase musicale.
Lucie Renaud, Blog de Lucie Renaud, 2011

Un parcours musical orignal et fascinant que celui de Marie-Hélène Breault […]
La conception artistique du programme est pour Marie-Hélène Breault un élément clé, rempli de défis passionnants : aller chercher et intéresser un grand public, « revitaliser un concert de musique contemporaine, pas juste organiser un concert »… D’où l’importance pour elle d’animer les concert, de créer un lien avec l’auditoire, ce dont elle s’acquitte brillamment.
Irène Brisson, Info-opéra, 2010

Après l’entracte, un trio encore plus éclectique se pointa pour nous présenter Triojubilus (de 1985) pour flûte, harpe et percussion, plus particulièrement dans ce cas un agrégat de 32 cloches à vaches. Encore une fois, Tremblay nous amène dans un monde sonore plein d’inventions. Des effets spéciaux de la flûte et de la harpe explorent plusieurs éléments d’intérêt pour le compositeur. Les interprètes explorent le silence, la spatialisation, des glissandos et un monde rythmique à la fois intrigant et envoutant. Les interprètes étaient Marie-Hélène Breault à la flûte, Valérie Milot à la harpe et la percussionniste Marie-Josée Simard aux percussions. Elles étaient des plus impressionnantes et méritaient bien l’ovation qu’elles ont reçue.
Bernard Savoie, Sa Voie Finale, 2009

Three vintage Tremblay works reminded us of how even the most radical modernism can be richly musical. Triojubilus, a 17-minute trio of 1985 for flute (Marie-Hélène Breault), harp (Valérie Milot) and cowbells (Marie-Josée Simard) made the biggest impression […]
Arthur Kaptainis, The Gazette, 2009

The finale of the evening […] was “Kathinka’s Chant as Lucifer’s Requiem”, played by Marie- Hélène Breault on flute accompanied by electronics. It is worth mentioning that Mlle. Breault was awarded a first prize by Stockhausen himself for her interpretation of this piece […] Mlle. Breault’s flute begins with deep tones rolling in syncopated rhythms against a watery electronic background that shifts focus all over the room but constantly sends out sounds like that of children’s wild laughter. She takes up positions around the quadrants of two onstage clocks. The music is spacious, solemn, austere, ending on a dire note that rises to a shriek. Palpable silence follows and in that she walks off the stage.
Stanley Fefferman, Showtime Magazine, 2008

A second intermission facilitated the rearrangement of the stage for the final piece, Kathinkas Gesang. This composition brought together flute and electronic timbres in such a way as to explore together the tonal resonances in natural and synthetic harmonics. Two giant circular boards were equally divided into twelve segments, each one displaying eleven musical phrases and one restful pause. Marie-Hélène Breault was consistent in her character for the half-hour it took to perform this piece, and as she tip- toed around the stage she brought to life imagery of a vast sonic realm that represented Lucifer’s Requiem.
Jessica Lombardi, The Live Music Report,
 2008

Le compositeur allemand [Karlheinz Stockhausen] l’a même, de son vivant, récompensée d’un premier prix pour l’interprétation de ses pièces en 2006.
Frédéric Khalkhal, Journal Metro, 2008

Marie-Hélène Breault est une flûtiste professionnelle qui est aussi mue par une grande curiosité. Celle que ses professeurs ont décrit comme « alliant l’émotion de l’interprète à la rigueur de la recherche scientifique » a tout naturellement entrepris un doctorat en musicologie. Celui-ci lui a valu le prix d’excellence Desjardins pour étudiants-chercheurs de niveau doctoral.
Stéphanie Marin, Le Devoir, 2007

Marie-Hélène Breault […] a obtenu, en juillet dernier, le 1er prix d’interprétation ainsi qu’une bourse de 2000 euros aux Stockhausen-Kurse Kürten 2006, série de cours et de concerts sous l’égide de Karlheinz Stockhausen. Marie-Hélène Breault a interprété Kathinkas Gesang als Luzifers Requiem […] Sa prestation lui a valu maints éloges de la part du compositeur.
Sforzando, 2006

I think Marie-Helene Breault’s performance of “KATHINKAS GESANG” was great. Very musical, sensitive, and moving. Her playing was fluid, and sometimes, it made me think she was just improvising a jazzy tune… And moreover it was NEVER boring (I must confess that my attention often drifts away when Kathinka Pasveer performs this work). Excellent work (also thanks to her flute teacher, the Canadian Lise Daoust). I wasn’t surprised she got the first prize.
Paul Dirmeikis, Derkeiler, 2006

Si l’interprétation de la musique de Stockhausen demande beaucoup d’implication,
Marie-Hélène Breault joue aussi d’autre chose (son professeur insiste d’ailleurs pour dire qu’elle excelle dans tous les genres) […]
Réjean Beaucage, Voir Montréal, 2005

Si on a entendu pire, on aura surtout rarement entendu mieux, jusqu’à maintenant, […] que […] l’interprétation époustouflante de la Fantaisie brillante sur Carmen de François Borne […] arrangée pour flûte et marimba […] À en juger par les applaudissements fournis du public, […] il serait difficile de croire qu’il n’a pas aimé.
Roger E. Cormier, L’Acadie-nouvelle, 2005